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Les imprimantes 3D DED disponibles sur le marché

FormAlloy est une entreprise américaine spécialisée dans les solutions d’impression 3D en métal. Elle propose du matériel spécialisé pour le revêtement et la réparation, qui peut être intégré aux lignes de production existantes. Sa série X5 est une imprimante DED qu’elle propose. Elle a un volume d’impression de 250 x 250 x 300 mm et est conçue pour résister aux collisions potentielles, minimiser la maintenance et réduire les temps d’arrêt. Le chargeur de développement d’alliages ADF de FormAlloy permet de déposer rapidement jusqu’à 16 alliages différents. De plus, la conception modulaire permet des configurations illimitées avec un changement de poudre facile en seulement 5 minutes. Les systèmes de dépôt par énergie focalisée de la série X5 de FormAlloy sont dotés d’un contrôle en boucle fermée, de lasers à longueur d’onde variable et de chargeurs de poudre pour les structures bimétalliques.

Crédits photo : MX3D

Prima Additive – Laser Next 214

MX3D et son imprimante 3D DED M1 Metal AM System

EBAM 300

Le fabricant allemand Evobeam propose la WiLaVAM avec laser et une alimentation en fil. L’imprimante est équipée d’une chambre à vide qui permet d’utiliser les métaux réfractaires et les superalliages. De plus, un système de guidage de fil à commande numérique est intégré dans la machine. La solution d’Evobeam est parfaitement adaptée à la production de pièces de taille moyenne et garantit un taux d’assemblage plus élevé grâce à la dépose basée sur le fil. Le fabricant promet aussi une nette réduction du temps de processus. Evobeam, dont le siège se trouve en Rhénanie-Palatinat, se concentre sur les techniques de fabrication additive et de soudage par faisceau d’électrons et par laser et propose donc d’autres machines, comme par exemple l’Evobeam CUBE et l’Evobeam CELL.

imprimante 3D DED

 

imprimantes 3D DED

Avec sa gamme de machines Arc, l’entreprise allemande Gefertec propose la 605 et la 603. Dans ce cas, le dernier chiffre indique le nombre d’axes pour l’usinage. Les axes de déplacement permettent une certaine flexibilité et autorisent ainsi la production de pièces qualitatives. Alors que l’ARC 603 peut produire des pièces métalliques jusqu’à 3,0 m3 avec une masse maximale de 3000 kg, l’ARC 605 produit des pièces jusqu’à 0,8 m3 avec une masse maximale de 500 kg. Outre la convivialité et la facilité d’utilisation des machines dans les processus de production existants, le fabricant vante les caractéristiques spéciales de la série. Ainsi, elle dispose entre autres d’une plaque de base avec refroidissement actif, d’un boîtier insonorisé et de la possibilité de surveiller le processus au moyen d’une caméra.

imprimante 3D DED

Crédits photo : Sotimeco

Meltio est un fabricant espagnol d’imprimantes 3D en métal qui possède sa propre technologie appelée LMD. Cette technologie est un procédé d’impression 3D qui utilise des lasers pour extruder du fil ou de la poudre métallique sans qu’il soit nécessaire de changer la buse. De plus, la tête abrite entre 3 et 6 lasers, et la buse permet de concentrer l’énergie sur le matériau d’impression spécifique. Elle est basée sur les technologies DMLS et WAAM et est unique sur le marché en raison de son large éventail d’applications et de sa capacité à créer des pièces métalliques denses à 100 %. La M450 est compatible avec différents types de métaux tels que le titane ou l’acier et a un volume d’impression maximal de 200 x 150 x 450 mm. Leur technologie est innovante et brevetée par eux-mêmes, ce qui leur permet de réduire de moitié le coût de l’investissement initial et d’améliorer la productivité. La M450 est parfaite pour les entreprises qui ont besoin d’imprimantes 3D pour la fabrication de métaux. Son prix reflète ses capacités et ses performances, ce qui lui confère un bon rapport qualité-prix.

Crédits photo : Optomec

X5 Series de FormAlloy 

Le fabricant britannique WAAM3D, basé à Milton Keynes, en Angleterre, a mis au point l’imprimante 3D métallique RoboWAAM. Basée sur la technologie Wire Arc Additive Manufacturing (WAAM), la machine est capable de produire des pièces en acier à partir d’un matériau en forme de fil. Elle est équipée de son propre bras robotisé et est capable de créer des pièces d’un volume d’impression maximal de 2000 × 2000 × 2000 mm, ainsi que de réparer des pièces métalliques existantes. Il comprend également le logiciel interne de l’entreprise, composé de quatre programmes : WAAMPlanner, WAAMKeys, WAAMSim et WAAMCtrl. Le RoboWAAM est ainsi devenu un système d’impression 3D métallique idéal pour la création de pièces de pointe, capable de traiter pratiquement tous les matériaux métalliques disponibles sous forme de fil.

Crédits photo : Evobeam

Stargate de Relativity Space

Crédits photo : Prima Additive

MERKE IV de Norsk Titanium

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Sciaky propose sa technologie de fabrication additive par faisceau d’électrons (EBAM). Celle-ci permet la fabrication de pièces métalliques de grande taille. D’après le fabricant, sa solution d’impression 3D EBAM 300 peut créer des structures de 5,8 mètres de longueur et 1,2 mètres de largeur et de hauteur. Les matériaux compatibles avec cette machine sont les métaux soudables, disponibles sous forme de filament. La machine peut ainsi imprimer avec le titane, le tantale, le tungsten, les aciers inoxydables ou encore des alliages à base de nickel. A noter que le procédé EBAM peut également imprimer en 3D des pièces de petites tailles, avec une épaisseur de couche de 1 mm. Sciaky assure que son système peut être utilisé pour de la fabrication de prototypes et de pièces de production, mais aussi pour de la réparation dans des secteurs comme l’aérospatial. Enfin, la technologie du fabricant permettrait de réduire les coûts en éliminant 80 % des déchets de matériaux, tout en diminuant les délais de production de 70 % grâce à sa vitesse de fabrication. 

Sotimeco est un acteur français, basé en Nouvelle-Aquitaine. Il propose la GICAM 1500 P/W. Cette machine utilisant la technologie DED, compatible avec le procédé à base de dépôt de poudre et de fil, permet un volume d’impression de 1 500 x 500 x 500 mm. Elle inclut une source laser fibré PRC-C 1000 de 1 kW, un groupe frigorifique puissance 6 kW, un robot Kuka KR16 R1610-2 avec armoire KRC4 et smartPad KCP4. Côté structure, elle dispose d’une cabine de 6 x 2,5 m avec dépoussiérage et filtration intégrés. Sotimeco propose également un logiciel qui comprend le trancheur, la FAO, le post-pro et l’analyse de collision RhinoRobot. L’initiation et la formation sont assurées par Sotimeco ainsi que par la société Kinematiq. L’imprimante GICAM 1500 P/W de Sotimeco est personnalisable : la capacité du robot peut être augmentée, la tête poudre remplacée ou complétée par une tête fil…

imprimante 3D DED

La MX-Fab d’InssTek dispose de 5 axes et de la technologie Direct Metal Tooling (DMT), brevetée par le fabricant. Munies de deux caméras de vision, les imprimantes de la gamme MX d’InssTek sont capables d’analyser et de contrôler en temps réel la hauteur du plateau d’impression. Ainsi, elles permettent la mesure et le contrôle de l’épaisseur de chaque couche. La MX-Fab est une imprimante 3D DED tout-en-un, qui inclut un laser, un système de refroidissement, un purificateur d’air et une pompe à vide. Le réservoir d’alimentation en poudre, indépendant, permet d’assurer une alimentation en poudre précise et constante. À noter que les clients peuvent faire personnaliser leur imprimante par le fabricant.

Crédits photo : WAAM3D

M450 de Meltio

L’imprimante 3D Startgate de Relativity Space est la plus grande machine métallique au monde et a été utilisée pour la production de la première fusée imprimée en 3D, Terran 1. La dernière technologie d’impression Startgate est l’imprimante Startgate 4th Generation Metal 3D Printer. Celle-ci se déplace horizontalement et alimente plusieurs fils dans une tête d’impression afin d’imprimer des pièces. Grâce à l’impression horizontale, la taille des pièces fabriquées peut atteindre 36 m de long et 7 m de large. Il est également possible de produire des pièces métalliques très complexes et de grande taille à l’aide du logiciel développé par l’entreprise.

imprimante 3D DED

La société italienne Prima Additive est spécialisée dans les technologies de fabrication additive par fusion sur lit de poudre et par dépôt direct d’énergie, et présente une gamme de machines pour ces deux procédés. Pour la technologie DED, l’offre comprend plusieurs solutions, dont la machine de grande taille Laser Next 214, avec un volume d’impression de 4140 x 2100 x 1020 mm, et un kit DED complet, avec une tête d’impression, un laser et un chargeur de poudre. En détail, la solution de Prima Additive est la plus complète, avec une tête de dépôt qui se déplace de 3 à 5 axes simultanés, un système CNC à 5 axes, un taux de dépôt de 50 à 70 cm cubes/h au maximum et un laser à fibre de 1 à 6 kW. L’imprimante 3D DED peut être utilisée pour des applications complexes de réparation et de reprise afin de répondre aux besoins de différentes industries.

La machine M1 Metal AM System du fabricant néerlandais MX3D permet de fabriquer des pièces métalliques de taille moyenne à grande. Le fabricant a développé le logiciel MetalXL, adapté à la technologie WAAM (Wire Arc Additive Manufacturing). Le système, avec ses capteurs intégrés, garantit à l’utilisateur un contrôle et une surveillance permanents pendant toute la durée de l’impression. La machine offre également une vitesse plus élevée et peut ainsi produire en moyenne jusqu’à 1-3 kg par heure (voire 5 kg/h pour les pièces plus grandes). Malgré la vitesse élevée, le fabricant promet d’excellentes propriétés des matériaux et une qualité élevée des pièces produites. Des pièces en alliages d’aluminium et de cuivre, par exemple, peuvent donc être produites sans problème avec le M1, et ce même à des coûts jusqu’à 50% inférieurs à ceux de l’impression 3D métallique à base de poudre.

La MX-Fab d’InssTek, une imprimante 3D personnalisable et tout-en-un

L’imprimante 3D RoboWAAM de WAAM3D

La MTS 860 d’Optomec est le dernier modèle de la gamme de systèmes hybrides de l’entreprise américaine. Basée sur les systèmes LENS du fabricant, qui sont équipés d’un laser haute puissance de 3 kW, cette machine permet de réduire les temps de fabrication et de réparation. Parfaite pour les pièces de moyenne et grande taille, l’imprimante offre un espace de travail élargi de 860 x 600 x 610 mm et permet la fabrication additive et soustractive. Construite sur une plate-forme CNC et équipée d’un système de déplacement à trois axes, l’appareil est parfaitement adapté au traitement de l’acier inoxydable, des alliages à base de nickel, du cobalt, du tungstène et d’autres métaux non réactifs. La chambre de classe 1 protège contre tous les dangers du laser et forme ainsi une enceinte fermée. Parmi les autres machines du fabricant, citons le MTS 500, le CS 250, le CS 600, le CS 800, le CS 1500 et les systèmes HC 205 et HC 245.

Crédits photo : Gefertec

Evobeam et la WiLaVAM

Norsk Titanium est un acteur majeur de la fabrication additive DED. L’entreprise est connue pour avoir breveté la technologie RPD, autrement dit dépôt de plasma rapide. Comme son nom l’indique, ce procédé utilise du plasma comme source d’énergie le laser. Le fabricant a alors développé la MERKE IV, une machine de production de 4e génération. L’imprimante 3D est en mesure de créer des pièces de 900 x 600 x 300 mm, avec des dimensions de couche de 3-4 mm en hauteur et 8-12 mm en longueur. D’après Norsk Titanium, leur solution d’impression 3D permet de déposer 5 à 10 kg de matériaux sur la pièce par heure. En ce qui concerne les métaux compatibles, le fil de titane est utilisé dans la technologie RDP en raison des exigences de l’industrie aérospatiale ou de La défense. Les alliages de nickel, l’acier inoxydable sont aussi applicables avec ce procédé. Tout comme la plupart des imprimantes de cette liste, la MERKE IV a été conçue pour économiser des matériaux, diminuer les temps de fabrication et les coûts. Norsk Titanium affirme également que cette machine offre moins d’usinage, ce qui réduits ainsi les étapes de post-traitement. 

imprimantes 3D DED

DMG MORI est une entreprise allemande qui propose une imprimante DED, la LASERTEC 6600. Comme la plupart des solutions machines pour cette technologie, cette imprimante 3D est adaptée à la fabrication de grandes pièces pour l’industrie aérospatiale, mais aussi pour l’industrie énergétique. La particularité de cette machine est qu’il s’agit d’une hybride, ce qui signifie que la fabrication additive est combinée avec la fabrication soustractive. Dans ce contexte, la taille maximale de la pièce est de Φ1.010 mm × 3.702 mm.

Crédits photo : Norsk Titanium

Les imprimantes 3D DED Arc605 et Arc603 de Gefertec

Crédits photo : Insstek

Optomec MTS 860

Crédits photo : Relativity Space

L’imprimante 3D DED GICAM 1500 P/W de Sotimeco

Crédits photo : FormAlloy

DMG MORI – LASERTEC 6600 DED hybride

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